(Detail from Alexandre Cabanel Phèdre 1880)
La tristesse des jours de fêtes
Echappées dans l’état
D’un esprit sans corps mort sans tête
Au bord du fleuve où plongent ébats
Mes émois sous le poids des cadenas
La Seine porte sa robe pétrole
Et les sacs plastiques vers une nouvelle Amérique
Mon regard remplit des almools
Dégringole avec les boucles folles
Miroitantes dorures électriques
Réactivent la voix de la musique
J’aimerai chanter
Mais vois ma voix qui boit
Qui baise et s’enrhume
Malaise des poètes du bitume
Forgerons se tapent sur les doigts
Par habitude frappent sur l’enclume
Avec l’espoir que l’écume d’étincelles
Feu follets de mots réanimés
Brûlent la boîte conserve de ma cervelle
En un feu de bois
Une vie embrassée
Un feu de joie
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