J'avais lu cet article ridicule de M. Levy sur LinkedIn! D'ailleurs il vient de rappliquer récemment 😄
"Que l'Italie quitte l'union Européenne au profit d'une union plus favorable" 🤣🤣🤣
Ce que je voudrais ajouter ici c'est qu'à la différence d'Ethereum et les blockchains qui copient son architecture, sur Hive (et Steem) l'Université (de Lille ou d'ailleurs) pourrait enregistrer non plus le hash du diplôme, comme il se fait actuellement de manière courante, mais le contenu même du diplôme, potentiellement structuré. Un exemple concret dans cet article, mon récent diplôme de master en droit de l'union européenne de l'Université de Lorraine. Certes, moi non plus je ne démontre rien, car ça aurait dû être inscrit non pas par moi, le récipiendaire, mais par l'Université elle-même.
Cela permet déjà à tout un chacun d'accéder au contenu sans avoir besoin d'accéder aux serveurs de l'Université et surtout cela permet de chercher et trouver des gens qui cumulent un certain nombre de qualifications.
C'est bien ce qu'on fait aujourd'hui en utilisant la solution de BCdiploma. Toutes les données, y compris le modèle graphique sont écrites dans la blockchain Avalanche (voir par exemple leur article de blog sur l'intérêt d'écrire les données dans une blockchain).
Ce que j'aimerais savoir c'est quel est le business model de BC Diploma maintenant (je connaissais le précédent). Où est-ce qu'ils ont placé le "toll booth", d'où et de qui est-ce qu'ils se rémunèrent ?
De ce que j'ai compris, mais il faudrait leur demander, ils se rémunèrent sur le service de mise en place de leur solution, de personnalisation, d'accompagnement, et de développement à façon. Ils ne veulent pas se transformer en simple intermédiaire d'émission de certificats qui se rémunérerait à chaque certificat émis. Il y a bien les 2 aspects dans leur contrat avec nous aujourd'hui, mais ça pourrait changer.