Ipophram - The sorcerer's sorrow - / Ipophram - La peine du sorcier -

in #spirituality6 years ago

occ.jpg

My sorrow is my ally, my shield defending me.
No one else can give me the comfort of being able to snuggle into the ravaged arms of despair when I yearn for delirium. Where are you, prayed for millennia, come and taste off my blade!
The war broke out here is my desire not moping only in pleasure.
Look for peace to have the illusion of an ephemeral happiness so quickly ripped from the whirlwind of my thoughts.
The black dove has described to me a piece of the truth, of my reality, no one else can observe it.
Looking at the blood of my ancestors that sank on the stained floor of churches, mosques, synagogues and other temple or icons once worshiped.
In this bath, scarlet color I bathed, in the confirmation, the starless sky, how many times Moon did I try to unhook you? Solaris you caressed me while I wanted to burn you.
Finally I found you, after seeking you in worthless words, in writings imbued with lies that could be called dictatorship of my individuality.
I hate you, I love you, these feelings are relics, my actions can not be judged.
Whoever shares with me holds my lie.
Who apart from me knows my nature?
Who else can be my executioner?
Who else can know what chaos is my life?
I love him, I hate him yet he is what he is.
I am through what is!

interpage 001.jpeg

Ma peine est mon allié, mon bouclier qui me défend nul autre qu'elle peut me donner ce réconfort de pouvoir me blottir dans les bras écorchés du désespoir lorsque je me languie du délire.
Où es tu ô toi, prié depuis des millénaire, viens que je te tranche de mon glaive!
La guerre a éclaté voici mon désir ne plus me morfondre uniquement dans le plaisir.
Rechercher la quiétude pour avoir l’illusion d'un bonheur éphémère si vite arraché du tourbillon de mes pensées.
La colombe noir m'a décrit une parcelle de la vérité, de ma réalité, nul autre ne peut l'observer.
Regardant le sang de mes ancêtres qui a coulé sur le plancher souillé des églises, des mosquées, des synagogues et d'autre temple ou icônes autrefois adorés.
Dans ce bain, couleur écarlate je me suis baigné, au firmament, au ciel sans étoile, combien de fois la lune ai-je essayé de décroché?
Solaris tu m'as caressé alors que je voulais te brûler.
Enfin je t'ai trouvé, après t'avoir cherché dans des mots sans valeur, dans des écritures imprégnées de mensonge qu'on pourrait nommer dictature de mon individualité.
Je te hais, je t'aime, ces sentiments sont des reliques, mes actes ne peuvent être juger.
Qui à part moi détient ma vérité, mon mensonge.
Qui à part moi connait ma nature?
Qui à part moi peux être mon bourreaux?
Qui à part moi, pourrais savoir quel chaos est ma vie? Je l'aime, je le hais pourtant il est ce qu'il est.
je le suis à travers ce qui est!

Columba_.jpg

***Artwork made by Cult of Occult****