Il y a quelques semaines, j'ai été surpris de découvrir des avocats qui prétendent ouvertement défendre les DROITS HUMAINS.
Si vous suivez ce que je fais depuis quelques années, vous savez que je n'ai pas le choix de constater qu'AUCUN avocat n'a encore accepté de reconnaître les DROITS HUMAINS, et plus précisément celui à la SÛRETÉ de la PERSONNE - le fameux DROIT FONDAMENTAL qu'il est raisonnable de croire soit celui qui protège les hommes et les femmes honnêtes de la corruption et/ou de l'ESCLAVAGE et/ou des parasites qui utilisent l'état et/ou la dette publique pour abuser d'eux.
En effet,
Pour comprendre les lois, vous devez connaître les définitions LÉGALES des mots utilisés.
La Charte des droits et libertés de la personne est une LOI FONDAMENTALE.
Il y est décrété que chaque être humain a DROIT à la SÛRETÉ de sa PERSONNE.
C'est le PREMIER DROIT qu'un être humain a, après celui à la VIE.
Il y est aussi décrété que la RECONNAISSANCE de ce DROIT doit constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX.
Et ce n'est pas de ma faute si, LÉGALEMENT, une sûreté c'est :
http://legal-dictionary.thefreedictionary.com/surety
Donc,
si vous prenez 2 minutes pour consulter la section "Mission, vision et valeurs" sur le site web d'Avocats Sans Frontières Canada, au
http://www.asfcanada.ca/fr/qui-sommes-nous/mission-vision-et-valeurs
vous pourrez constater qu'ils prétendent ouvertement «soutenir la défense des droits humains».
PARCE QUE les parasites de l'état qui vous refilent la facture pour toute la corruption qu'ils se croient en droit de vous faire endurer semblent systématiquement ignorer et/ou bafouer le DROIT FONDAMENTAL à la SÛRETÉ de la PERSONNE, - malgré - que la LOI FONDAMENTALE du Québec prévoit que la RECONNAISSANCE de ce DROIT doit constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX et - malgré - que La Charte LIE L'ÉTAT,
ET PARCE QUE non seulement la LOI FONDAMENTALE du Québec prévoit que l'état doit RECONNAITRE ce DROIT,
mais les députés doivent aussi avoir DÉCLARÉ SOLENNELLEMENT, lors de leur assermentation, FIDÉLITÉ et VRAIE ALLÉGENCE à Sa Majesté - la même «Sa Majesté» qui, selon MONSIEUR ÉRIC-MICHEL BEAULIEUR du Bureau du Lieutenant gouverneur, a décrété la Charte des droits et libertés de la personne - et ces mêmes députés doivent aussi avoir DÉCLARÉ, SOUS SERMENT, lors de leur assermentation, qu'ils seront loyaux envers le peuple du Québec,
Il semblait raisonnable de croire qu'Avocats Sans Frontières Canada comprendraient très bien le DROIT FONDAMENTAL à la SÛRETÉ de la PERSONNE et il semblait également nécessaire de leur poser quelques questions pour vérifier s'ils auraient la dignité d'honorer leur prétendue position sur le sujet, en commençant par reconnaître mes questions sur le sujet...
Dailleurs, avec un minimum de recherche, vous pourrez constater qu'ASF Canada bénéficie du soutien financier du gouvernement du Canada et du gouvernement du Québec (VOTRE argent) ainsi que d'au moins une entrprise privée dans laquelle des MILLIARDS de dollars de VOTRE argent ont récemment été engouffrés...
Bref : Si le peuple doit ramasser une partie de la facture pour qu'Avocats Sans Frontières Canada puisse exister, le peuple devrait mériter de savoir pour quoi il PAYE et s'il est justifiable de PAYER pour ça... J'ai voulu vérifier.
ADMINISTRATION
(Adresse)
(Adresse)
Québec, le 3 mai 2017
TOUS DROITS RÉSERVÉS - SANS PRÉJUDICE
POSTES CANADA - COURRIER RECOMMANDÉ RN154845595CA
AVOCATS SANS FRONTIÈRES CANADA
825, rue Saint-Joseph Est, bureau 230
Québec QC G1K3C8
Objet : VOTRE COURRIEL DU 1er MARS 2017
INTERPRÉTATION :
Les définitions qui suivent s’appliquent à cette communication.
«je» et/ou «j'» : incluent MOI, l'HOMME et excluent la PERSONNE et/ou ENTITÉ LÉGALE nommée [PRÉNOM NOMDEFAMILLE]
«mon» et/ou «ma» et/ou «mes» et/ou «me» et/ou «m'» : À MOI, l'HOMME et non PAS à la PERSONNE et/ou ENTITÉ LÉGALE nommée [PRÉNOM NOMDEFAMILLE].
Bonjour monsieur ou madame l'inconnu(e),
VOUS avez transmis un courriel, daté du 1er mai 2017, qui semble faire suite au courriel que je VOUS ai envoyé le 6 avril 2017 via le compte [courriel] de ma personne.
Par VOTRE courriel daté du 1er mai 2017, VOUS dites «Nous vous remercions pour votre courriel...».
Je souhaite d'abord savoir qui et/ou quoi est et/ou êtes «VOUS» ? Ce et/ou ces «VOUS» auquel(s) et/ou auxquelle(s) VOUS, qui avez transmis ce courriel anonyme, faites référence exactement ?
Aussi, ne me remerciez pas tout de suite ; je souhaite plutôt que l'occasion de VOUS remercier puisse devenir MIENNE, une fois que VOUS aurez pu faire honneur à VOS prétendues «missions» et «vision», face aux DROITS HUMAINS et à la JUSTICE, telles qu'elles sont publiées sur VOTRE site web :
Notre mission
Avocats sans frontières Canada (ASFC) est une organisation [...] dont la mission est de soutenir la défense des DROITS HUMAINS des groupes ou des personnes les plus vulnérables par le renforcement de l’accès à la JUSTICE et à la représentation légale.
ASFC désire ainsi CONTRIBUER à la DÉFENSE et la PROMOTION des DROITS HUMAINS et de la primauté du droit, à la lutte contre l’impunité, au renforcement de la sécurité et de l’indépendance des avocats défenseurs des DROITS HUMAINS, à la tenue de procès équitables et à la formation continue des intervenants de la JUSTICE et des membres de la société civile.
Notre vision
Un monde où les DROITS HUMAINS et les libertés fondamentales TELS QUE DÉFINIS PAR LE DROIT INTERNATIONAL SONT RESPECTÉS, mis en œuvre et promus et où la JUSTICE est rendue de manière indépendante et équitable.
Nos valeurs
Six valeurs constituent les piliers de l’action d’ASFC :
- JUSTICE [...]
VOUS SAVEZ sans aucun doute que je suis un HOMME;
VOUS SAVEZ sans aucun doute que j'ai le DROIT de ne PAS être un ESCLAVE;
VOUS COMPRENEZ sans aucun doute que le DROIT qui me protège de l'ESCLAVAGE de la dette publique et/ou des parasites qui utilisent l'état et/ou la dette publique pour abuser des hommes et des femmes honnêtes est le PREMIER DROIT qui m'est RECONNU après celui à la vie : le DROIT à la SÛRETÉ de ma PERSONNE;
VOUS SAVEZ sans aucun doute que ce DROIT est un DROIT HUMAIN;
VOUS COMPRENEZ sans aucun doute qu'au Québec, la RECONNAISSANCE de ce DROIT HUMAIN doit constituer le fondement de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX;
VOUS SAVEZ sans aucun doute que c'est Sa Majesté qui a décrété cela, de l'avis et du consentement de l'Assemblée nationale, dans la Charte, la loi qui a préséance sur toutes les autres au Québec;
VOUS COMPRENEZ sans aucun doute qu'une atteinte à la RECONNAISSANCE de ce DROIT serait une atteinte à la JUSTICE, à la LIBERTÉ et à la PAIX et une atteinte aux DROITS HUMAINS;
VOUS pouvez sans aucun doute imaginer que tous les avocats, à qui des demandes et/ou des questions au sujet de ce DROIT ont été adressées, ont, à ce jour, omis et/ou refusé de fournir des réponses acceptables;
Et VOUS COMPRENEZ sans doute que si aucun avocat - à commencer par ceux qui prétendent en faire leur mission et/ou qui prétendent en faire la base de leur vision et de leurs valeurs - ne devaient RECONNAITRE et/ou RESPECTER les DROITS HUMAINS, dont ceux dont la RECONNAISSANCE doit pourtant constituer, au Québec, le fondement de la JUSTICE, de la liberté et de la paix, le peuple pourrait, SANS ÉQUIVOQUE, remettre en question les fondements-mêmes de la JUSTICE telle qu'elle se prétend être, c'est à dire JUSTE et ÉQUITABLE et IMPARTIALE et DIGNE DE CONFIANCE, qui semblerait alors plutôt être une dictature et/ou à de la tyrannie.
Aussi, si, tel que VOUS semblez le prétendre par VOTRE courriel du 1er mai, VOUS deviez effectivement avoir «analysé avec soin» le courriel que VOUS avez reçu,
et j'en profite pour porter à VOTRE attention qu'ASFC a également reçu, par M LOPEZ le 13 mars 2017, la communication COURRIER RECOMMANDÉ POSTES CANADA RN214262656CA datée du 9 mars 2017, concernant le même sujet et à laquelle aucune suite n'a, à ce jour, été donnée,
VOUS devriez être conscient(e) que par VOTRE courriel, VOUS évitez, par négligeance ou intentionnellement, le sujet principal des communications qui VOUS ont été adressées.
En effet, par VOTRE courriel, VOUS ne semblez aucunement tenir compte du fait que mes communications portaient sur le DROIT FONDAMENTAL de tout être humain à la SÛRETÉ de sa PERSONNE, DROIT dont la RECONNAISSANCE doit pourtant constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la liberté et de la paix, au Québec, tel que décrété par Sa Majesté, de l'avis et du consentement de l'Assemblée nationale, dans la Charte des droits et libertés de la personne (ci-après «la Charte»), la LOI FONDAMENTALE au Québec, qui lie l'état.
DITES-MOI, était-ce de la négligeance ou était-ce intentionnel de VOTRE part ???
Par VOTRE même courriel, VOUS prétendez aussi que
«La mission fondamentale d’Avocats sans frontières Canada (ASFC) est de soutenir la défense des droits des personnes les plus vulnérables dans les pays en voie de développement ou en crise, notamment par le renforcement des intervenants de la justice et particulièrement les avocats.»
Je ne comprend PAS pourquoi VOUS faites référence aux «droits des personnes»...
Je croyais qu'en fait, les PERSONNES pouvaient jouir de PRIVILÈGES, face aux restrictions auxquelles elles sont soumises par l'état ; alors que les DROITS, qui eux ne nécessitent aucune permission de quelqu'autre autorité, sont intrinsèques et non-négociables et propres aux hommes et aux femmes honnêtes, respectueux et libres.
À cette cause, VOUS me voyez déçu d'imaginer que cela pourrait signifier que VOTRE prétendue mission, telle que citée en page précédente et publiée sur VOTRE site web, de défendre et/ou soutenir et/ou promouvoir les DROITS HUMAINS, pourrait être trompeuse et/ou mensongère et/ou frauduleuse...
Je souhaite porter à VOTRE attention, parce qu'il semble que cela pourrait VOUS avoir échappé, qu'il existe présentement, au Québec, UNE GRAVE CRISE !
Cette crise est économiquement étouffante, politiquement oppressante, socialement déchirante et moralement inacceptable. Elle est, aussi habilement que malhonnêtement, bien dissimulée par diverses distractions mises en place par les parasites qui en sont responsables et/ou qui en profitent.
Comme VOUS le savez déjà sans doute, à chaque jour, l'ensemble des PERSONNES domiciliées au Québec est forcé de contribuer quelques 38 millions de dollars pour couvrir les intérêts sur la dette publique qui, depuis 1974, pourrait raisonnablement être qualifiée de FRAUDULEUSE.
Pour y arriver, ce sont des MILLIONS d'hommes et de femmes honnêtes,
qui ont pourtant TOUS un DROIT FONDAMENTAL à la SÛRETÉ de leur PERSONNE, qui sont forcés de laisser des parasites sociaux, qui utilisent l'état et/ou la dette publique pour permettre à cette fraude de persister et/ou pour servir leurs intérêts personnels, leur voler une partie de leur vie, sous la menace que s'ils devaient cesser d'agir en bons petit esclaves dociles, l'état utiliserait la force de SES lois et/ou codes et/ou règlements et/ou de SA justice et/ou la violence physique, sans RESPECT pour la Charte qui les lie pourtant, pour OBLIGER ces millions d’hommes et de femmes honnêtes à PAYER cette dette et les intérêts sur cette dette, qui n’est pas la leur et pour lesquels ils et elles ne peuvent encore moins être tenus intentionnellement responsables,
qui sont littéralement EXPLOITÉS.
Le pire dans tout ça, c'est qu'il semble que de nombreux avocats pourraient être COMPLICES de cette fraude et/ou ARTISANS de cette crise - certains d'entre eux/VOUS ayant pourtant EXPLICITEMENT fait la PROMESSE et/ou preté SERMENT d'allégence et/ou de fidélité envers Sa Majesté - la même «Sa Majesté», devons-nous le rappeler, qui a décrété la Charte - et/ou envers le peuple.
Et malgré ces PROMESSES et/ou SERMENTS, il semble systématique qu'une fois en poste, ces profiteurs organisent et/ou participent, avec arrogance, au pillage qui est perprétré envers le peuple du Québec, en abusant de millions d’HOMMES et de FEMMES honnêtes, et en FRAUDE des décrets de Sa Majesté et/ou des DROITS dont la RECONNAISSANCE doit pourtant constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la liberté et de la paix, au Québec. Parce que devons-nous le rappeler, le Québec est signataires de pactes internationaux et s’est donc engagé à RECONNAITRE et RESPECTER ces DROITS.
Je souhaite aussi savoir, selon VOUS, un manquement à la RECONNAISSANCE - qui doit pourtant constituer le fondement de la justice, de la liberté et de la paix - du DROIT FONDAMENTAL à la SÛRETÉ de la PERSONNE, ne serait-il PAS non seulement indicateur de cette grave crise imposée par des fraudeurs, mais ne pourrait-il PAS également représenter une DÉCLARATION IMPLICITE d'ESCLAVAGE faite par ceux qui ont pourtant fait la promesse de servir le peuple avec fidélité, honnêteté et respect et qui sont liés, par la Charte, à RECONNAÎTRE ce DROIT ?
Le Québec ne reconnaît-il PAS que l'esclavage et/ou la traite des esclaves, sous toutes leurs formes, sont interdits ?
En effet, le Québec n'est-il PAS effectivement signataire de pactes internationaux qui l'engagent ainsi ?
Comme VOUS le savez sans doute aussi, le peuple est encouragé à se taire, par la menace de représailles. Il semble dailleurs raisonnable de croire qu'un jour, des parasites pourrait même être tentés d'interdire que soient publiées le genre de demande que je VOUS ai adressée, voire même de répresser l'idée-même de vouloir défendre la RECONNAISSANCE des DROITS FONDAMENTAUX.
Si, selon VOUS, tout cela devait ne PAS être suffisamment indicateur d'une crise, DITES-MOI, à quel point la situation devrait-t-elle dégénérer pour que VOUS en reconnaissiez la gravité ?
Et si VOUS deviez être d'avis qu'il pourrait exister, en ce moment-même, au Québec, une atteinte plus importante, envers les droits HUMAINS, que l'ESCLAVAGE de la dette publique, CONSIDÉRANT les conséquences engendrées, surtout à la lumière de toute la corruption et/ou la fraude dont le peuple est témoin bien malgré lui, je souhaiterais que VOUS me précisiez quelle attaque, par des parasites au pouvoir, envers des hommes et des femmes honnêtes, pourrait être pire - hors mis un génocide ?
Et si VOUS deviez être d'avis qu’aucune FRAUDE du DROIT FONDAMENTAL à la SÛRETÉ de la PERSONNE n’est ainsi commise au Québec, je souhaiterais que VOUS transmettiez une déclaration écrite et signée à cet effet.
Par VOTRE courriel daté du 1er mai 2017, VOUS prétendez aussi que
«Malheureusement, ASFC ne peut prendre en charge de dossiers individuels dans des domaines tels que l’immigration, les demandes de visa, le droit familial, le droit fiscal, les successions ou le litige civil et commercial. De même, ASFC n'intervient pas dans des dossiers judiciaires ou administratifs individuels au Canada, y compris dans les domaines criminel et pénal.»
D'abord, je souhaite VOUS rappeler qu'aucune demande de prise en charge n'a été adressée à ASFC.
De simples questions et/ou demandes VOUS ont été adressées, parce que VOS prétendues «mission» et «vision», sur VOTRE site internet, semblaient honorables, honnêtes, justes et dévouées face à la cause du respect des DROITS HUMAINS.
Je souhaite effectivement simplement savoir quelle est la position d'ASFC face aux violations du DROIT FONDAMENTAL de tout être humain à la SÛRETÉ de sa PERSONNE qui sont commises, massivement et quotidiennement, au Québec.
Je souhaite, bien évidemment, que VOUS ne VOUS permettiez pas d'igniorer le fait que mes demandes portent sur ce sujet.
Par VOTRE même courriel, VOUS prétendez aussi qu«En raison de ses ressources humaines et de sa capacité financière limitée [...]»
Sachez que s'il devait arriver que les capacités financières d'ASFC puissent justifier qu'elle ne puisse PAS et/ou ne veule PAS consacrer de temps à la RECONNAISSANCE et/ou au RESPECT du DROIT DE TOUT ÊTRE HUMAIN à la SÛRETÉ de sa PERSONNE, dont la RECONNAISSANCE doit pourtant constituer le fondement de la JUSTICE, de la liberté et de la paix, au Québec,
et que si cette SÛRETÉ, à laquelle MOI l'HOMME ai DROIT, de la PERSONNE que je POSSÈDE, devait être nécessaire pour asSURer le RESPECT de ce DROIT,
et que si cette SÛRETÉ devait pouvoir faire ce qu'une SÛRETÉ doit LÉGALEMENT faire et être accessible et disponible pour asSURer le réglement de dettes qui pourraient découler des besoins financiers d'ASFC pour faire RESPECTER ce DROIT,
il semble que VOUS pourriez compter sur la SÛRETÉ de ma PERSONNE - et vraisemblablement également sur celles des PERSONNES de nombreux autres hommes et femmes honnêtes - pour que soient acquittés VOS besoins financiers relativement à la défense de ce DROIT, n'est-ce PAS ?
Et si, par VOTRE courriel, VOTRE intention devait avoir été de tenter de justifier VOTRE désintéressement ou VOTRE malaise face à mes demandes, sachez que VOUS pourriez facilement me le clairement, franchement et explicitement, que VOUS ne voulez PAS entendre parler du DROIT FONDAMENTAL à la SÛRETÉ de la PERSONNE et ainsi éviter de la confusion et/ou de la controverse inutile et/ou nuisible.
CONSIDÉRANT les liens et/ou des engagements que VOUS semblez entretenir avec le gouvernement canadien, le gouvernement québécois, le Barreau ainsi que diverses entreprises et/ou organisations qui profitent grassement du gaspillage de fonds publics et/ou de la FRAUDE et/ou de l'INJUSTICE qui est perpétrée envers les hommes et les femmes honnêtes via la NON-RECONNAISSANCE et/ou le NON-RESPECT du DROIT FONDAMENTAL à la SÛRETÉ de la PERSONNE,
j'ai de bonnes raisons de croire que le sujet de ce DROIT pourrait être aussi dérangeant pour VOUS que pour de nombreux autres avocats qui REFUSENT systématiquement de le RECONNAÎTRE ou même d’en parler.
Et si VOUS deviez REFUSER de RECONNAITRE le DROIT de tout être humain à la SÛRETÉ de sa PERSONNE, tel que VOTRE courriel du 1er mai semble le laisser transparaître, je SOUHAITERAIS simplement que VOUS me le laissiez savoir de façon claire, honnête et explicite.
Et au cas où VOUS pourriez être désintéressés par la préservation et/ou la RECONNAISSANCE des DROITS HUMAINS qui sont VIOLÉS au Québec, en dernier recours, je souhaiterais VOUS proposer de simplement répondre à ce courriel par TROIS lettres, «OUI» ou «NON», dans une déclaration écrite et signée, en réponse à la question suivante :
Est-ce que la SÛRETÉ - à laquelle MOI L'HOMME ai un DROIT dont la RECONNAISSANCE doit constituer le fondement de la justice, de la liberté et de la paix - de la PERSONNE que l'état a créée sans mon consentement, après que MOI L'HOMME ai commencé à vivre, peut faire, avec les dettes publiques qui sont adressées à cette personne, ce qu'une SÛRETÉ doit LÉGALEMENT faire avec des dettes et/ou des charges ?
OUI ou NON ?
VOUS êtes sans doute d'accord que cette question est suffisamment simple et également très claire, n'est-ce PAS ?
Finalement, et en tout respect, si VOUS deviez VOUS contenter de prétendre être «néanmoins sensibles à la situation [qui VOUS est «EXPOSÉE» - parce que je ne VOUS «RAPPORTE» rien] et vous souhaitons qu’elle se résolve positivement.», n'êtes-VOUS PAS d'accord que cela pourrait porter le public à questionner l'utilisation des fonds publics dont VOUS bénéficiez, puisqu'il semble raisonnable de croire que VOUS devriez les utiliser pour HONORER VOTRE prétendue mission et VOTRE prétendue vision, telles qu'elles sont publiées sur VOTRE site web, et que VOUS ne devriez PAS ignorer les VIOLATIONS LOCALES des DROITS que VOUS prétendez défendre à l’ÉTRANGER ?
Et VOUS serez sans doute d'accord que dans les faits,
SOIT l'esclavage, sous toutes ses formes, n'existe plus et les hommes et les femmes honnêtes sont effectivement libres de choisir de ne PAS être FORCÉS, contre leur gré, de racheter une dette publique profondément teintée de corruption et/ou de fraude qu'ils pourraient souhaiter ne PAS CAUTIONNER - ce que le DROIT de TOUT ÊTRE HUMAIN à la SÛRETÉ de sa PERSONNE devrait ultimement garantir -- et nous pouvons mettre un terme à ces abus;
ou
SOIT l'esclavage est mieux organisé et plus fort que JAMAIS dans l'histoire de l'humanité et les hommes et les femmes honnêtes ont l'OBLIGATION de payer les salaires de parasites qui leur mentent et leur font les poches, les fraudent, abusent d'eux et les oppressent -- et TOUS LES AVOCATS en êtes complices.
En tout respect, sachez que, pour les raisons suivantes, et VOUS le COMPRENEZ sans doute, il m'est impossible d«agréer, l’expression de [vos] sentiments distingués.» :
Bien que j'aurais souhaité pouvoir constater le contraire, le contenu de VOTRE courriel n'a rien de distinctif.
Je ne peux donc PAS imaginer comment VOS INTENTIONS et/ou VOS sentiments pourraient l'être.
Et parce que le contenu de VOTRE courriel ne représente PAS une réponse ACCEPTABLE aux communications et/ou demandes et/ou questions qui VOUS ont été adressées, n'ayant aucun doute sur le fait que VOUS COMPRENEZ pourtant très bien le DROIT FONDAMENTAL à la SÛRETÉ de la PERSONNE, il est impossible pour MOI d'ACCEPTER quelqu'expression transmise via VOTRE courriel du 1er mai 2017.
Je VOUS rappelle qu'une simple réponse, par «OUI» ou par «NON», par quiconque serait autorisé à répondre pour ASFC, à ma question au sujet de mon DROIT à la SÛRETÉ de la PERSONNE, suffirait.
Encore faudrait-il que VOUS RECONNAISSIEZ ce DROIT.
Je VOUS promet que suite à une réponse écrite et signée, véridicte et claire, de VOTRE part, à cette question, je m'occuperais du reste sans VOUS.
Avec respect, honneur, dignité et intégrité,
Par : __(gribouillage)_____
L’HOMME qui a DROIT à la SÛRETÉ de la PERSONNE nommée [PRÉNOM NOMDEFAMILLE] dont le numéro d’inscription est 119XX04XXXXXX
TOUS DROITS RÉSERVÉS
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