Creed II est complètement palpitant, met en contact des gants avec le groupe de spectateurs et répond aux désirs.
Les retombées approximatives et, par expansion, des créations de Creed sont des rencontres qui rongent les ongles à partir de la minute où elles ont été déclarées. L’ombre de Rocky V persiste toujours de manière scandaleuse, de sorte que toute nouvelle expansion de l’établissement au-delà de cette date a semblé être une entreprise plus périlleuse à chaque pause. Heureusement, Creed II est un clou mordant pour toutes les bonnes raisons, car le film est un retour énergisant dans l'univers d'Adonis Creed.
Creed II voit Adonis "Donnie" Creed (Michael B. Jordan) baisser les yeux sur son adversaire le plus remarquable: Viktor Drago (Florian Munteanu), l'enfant d'un combattant russe irrespecté, et l'homme qui a assassiné Apollo Creed dans le ring, Ivan (Dolph Lundgren). .) Les enjeux sont plus importants tout au long de l’anneau, Donnie et Bianca (Tessa Thompson) ayant commencé à fabriquer de plus en plus une coexistence. Une existence réelle qui est effectivement compromise si les conséquences de cette mission pour la grandeur deviennent sauvages.
En tant que film, Creed II est tout aussi convaincant que son précurseur en ce qui concerne la capture d'un groupe de personnes. Même d’un point de vue pessimiste, les suites Rocky se sont senties hokey et motivées par l’orgueil; pourtant, Creed II enlève une page du livre de Creed et met en difficulté le corps de son héros, tout en mettant au défi son cœur. Dans le nouveau film, le risque a été accru dans la vie même d’Adonis, ce qui rend la concentration sur sa vie dans le ring encore plus tendue et effrayante.
Plutôt que de pencher vers le courant intérieur du moulin lors de la ronde suivante, Creed II passe une bonne mesure de son récit en posant une question importante: pour quoi vous battez-vous? Chaque personnage répond de manière spécifique à cette question et les réactions combinées structurent une histoire qui trouve une méthode décente pour démembrer cette question de manière intrigante et variée. Ainsi, cette méthodologie permet également à l’ensemble des acteurs de Creed II d’utiliser pleinement cette inspiration.
La relation à l'écran entre Michael B. Jordan et Tessa Thompson adopte un mode de mouvement caractéristique et les deux animateurs découvrent leur cadence ensemble dès le premier point de départ. Ils ne manquent jamais une étape dans leur récit de la romance de Donnie et Bianca, et ce sentiment est un fondement solide sur lequel se fonder Creed II. Au cours de cette histoire individuelle, il existe un lien entre Donnie et Rocky Balboa, joué par et par Sylvester Stallone. Bien que cet appariement ne soit pas aussi articulé que dans Creed, la relation tuteur / mentoré est encore essentielle dans la chaîne d'occasions de ce film actuel; ce n'est pas aussi à l'avant-plan que dans le film précédent.
Pour tout ce qui va bien, le véritable défaut de Creed II est en quelque sorte un plongeon dans le rythme du film. La manière dont les choses sont organisées dans l’histoire, fait qu’il ya encore un grand trou dans la dramatisation absolument proche de la maison, au milieu de photos prises de sportivité. Tout bien considéré, le film recule pour une durée totale, mais il ne finit pas par être épuisant.
De même, le récit du destin d’Ivan Drago depuis Rocky IV et les conditions auxquelles il est confronté avec Viktor donnent l’impression qu’ils auraient pu faire l’objet d’une enquête exceptionnelle dans son propre film partenaire. Dolph Lundgren est toujours aussi impérial que Ivan et le nouveau venu Florian Munteanu porte une image farouche à l'écran en tant que Viktor, ce qui en fait un rival viable. C’est le résultat direct de leurs expositions et des quelques endroits qu’il est permis à l’histoire d’explorer de laisser une histoire qui peuvent laisser quelques fans ayant besoin de plus de cette partie spécifique de l’histoire. Bien que, malgré tout, cela corresponde à une digression de Creed II, il reste encore beaucoup à exploiter dans cette veine-récit spécifique, et l'intrigue B d'un film n'est pas un espace suffisant pour le faire de manière appropriée.
Lorsque vous mettez tout cela ensemble, Creed II est loin derrière Creed en termes de qualité, mais à peine. L'âme de la direction de Ryan Coogler réside dans l'exécutif de Steven Caple Jr. magnifique continuation, en gardant la lumière de la famille Creed allumée pour les personnes qui devraient voir une autre série d’Adonis contre le monde. Dans le domaine de l’établissement des Rocheuses, connu pour son histoire inégale et ses suites successives, c’est ce qui pourrait être comparé à une belle victoire.
Ce triomphe provient de la seule chose que les films Creed, et même celle de 2006, Rocky Balboa, a veillé à ce que tout le monde soit présent: tous ces films ont été conçus pour incorporer le cœur de l'âme guerrière. C’est un résultat direct de ce cœur que Creed II soit totalement revigorant, mettant en contact des gants avec le groupe de spectateurs et répondant aux désirs. Au cas où vous seriez siphonné en regardant le film principal, préparez-vous à ce que votre cœur batte de nouveau votre poitrine; Depuis que Creed II s'occupe des affaires, ça bouge vraiment.
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