Un équilibre entre James Bond et The Lion King, avec une touche étonnante de Star Wars pour une bonne part.
Les mots ne suffisent pas pour décrire à quel point la Black Panther de Ryan Coogler est fondamentale à cette étape de la classification des images animées de bandes dessinées. Il ne s’agit pas simplement de notre premier film de performance se concentrant entièrement sur une dominante noire remplie de personnages féminins solides. Ce n'est pas simplement la première expérience du roi T'Challa, et notre premier grand jetez un coup d'œil au pays africain déconcertant de Wakanda. Ce n'est pas simplement la dernière excursion avant le gigantesque Avengers: Infinity War de Marvel. La panthère noire est ces choses, donc beaucoup plus. Compte tenu de la lourdeur de sa décharge, beaucoup se sont demandé si Black Panther pourrait transmettre ses grandes garanties. Heureusement, malgré certaines carences narratives et spécialisées, le film est enfin un film à la fois imparfait et étonnant sur l'approche globale, les questions de législation raciale et les engagements familiaux qui frappent l'empreinte plus régulièrement que manquée.
Peu de temps après les occasions de Captain America: Civil War (le film principal de la phase 3 n'est pas une critique, mais il aide sans aucun doute), Black Panther ouvre ses portes sur son principal patron (Chadwick Boseman) qui rentre chez lui dans le pays africain très enveloppé de Wakanda suite à la cession de Zemo (Daniel Bruhl) au gouvernement américain. De retour chez lui, il devrait prendre la place de King, son père récemment expiré, continuer à protéger son territoire en tant que légendaire Black Panther, réexaminer les arrangements neutres antérieurs de Wakanda en vue d'un affrontement universel, et gérer le risque croissant d'Erik Killmonger (Michael B. Jordan), Américain avec un apprentissage étrangement profond des traditions wakandaises. En cours de route, il donne un véritable coup de pied et rassemble les foules avec toute une nation et des acteurs qui seront probablement indispensables lorsque Thanos (Josh Brolin) parcourra la ville à long terme.
En son centre, Black Panther continue de démontrer que les images animées Marvel fonctionnent mieux lorsqu'elles trient et mélangent des composants de différents styles de film. Sur le compte de Black Panther, l’histoire ressent un équilibre entre James Bond et The Lion King avec une merveilleuse touche Star Wars lancée pour faire bonne mesure. Cela semble insensé, mais lorsque le film commence, vous pouvez évidemment comprendre comment ces caractéristiques se fondent dans quelque chose d'inédit.
Le problème est que Black Panther a besoin de beaucoup de temps pour vraiment découvrir son équilibre. Malgré le fait que le film soit en grande partie indépendant du reste de l'univers cinématographique Marvel, il établit la majorité des œuvres d'après Captain America: La guerre civile nécessite un investissement, et la démonstration principale semble être la plus lente et le segment le plus faible du film. Les choses montrent des signes d'amélioration une fois que l'histoire centrale a commencé, mais il y a de bonnes raisons de soutenir que Black Panther ne traitera pas du changement de la guerre civile comme Spider-Man: Retrouvailles, et qu'il le ferait ' Nous avons été exceptionnels en tant que films droits.
Tout bien considéré, Chadwick Boseman continue de démontrer qu'il était destiné à jouer Black Panther au moment où il s'aventure sous les projecteurs. Pourtant, la distribution qui le mérite mérite d'être affirmée ici aussi. Dans Black Panther, Ryan Coogler a rassemblé ostensiblement la meilleure tenue de personnages à n’importe quel moment dans un film de Marvel, avec Shuri (Letitia Wright), l’incroyable sournois, et le très docile Okoye (Danai Gurira), et le formidable Ulysses Klaue (Andy). Serkis) se démarquant en tant que choix potentiel de fan-top.
Wonder est depuis quelque temps censuré d'utiliser des activités sans vie qui ne répondent pas exactement aux qualités des saints, mais ici, l'inverse est pratiquement valable. Killmonger est séduisant, impitoyable, sérieux et perspicace dans la plupart des manières selon lesquelles vous avez besoin d'un fauteur de troubles pour coordonner une merveilleuse légende comme T'Challa. Maintenant, il faut considérer Michael B. Jordan - qui est effectivement le champion à l'intérieur du casting du film. Au moment où tout est dit et fait, il élimine à peu près toute incertitude sur le fait que Killmonger deviendra l’un des meilleurs lowlifess de la MCU à ce jour.
Là encore, la qualité de ce rassemblement général implique que quelques personnages finissent par être laissés pour compte. Des personnages comme Nakia (Lupita Nyong'o) et Ramonda (Angela Bassett) n’ont pas beaucoup à faire alors que l’histoire avance, et on s’attend beaucoup à ce qu’ils soient autorisés à occuper des emplois de plus en plus identifiables alors que Wakanda se transforme en pièce de plus en plus fondamentale de l'univers cinématographique Marvel.
Tout bien considéré, l'éclat des personnages de Black Panther est uniquement coordonné à la grandeur même du monde. Ryan Coogler a accompli quelque chose d'incroyable avec la formation des paramètres de Black Panther, puisqu'il équilibre facilement des conditions urbaines plus sombres et plus gracieuses (une capacité qu'il a effectivement installée avec Fruitva le Station et Creed) avec les arrangements plus anormaux de Wakanda. Entre les innovations tout à fait stupéfiantes (essentiellement à cause des énormes magasins Vibranium du pays), les panoramas africains en général et la structure de plateau vraiment magnifique, Wakanda est vraisemblablement la région la plus vaste et la plus extérieure jamais trouvée dans un film Marvel - également intéressant, Cela tient compte des traditions et des coutumes socio-politiques exceptionnellement comparables de Wakanda, qui le rendent parfaitement reconnaissable par rapport à un autre film de bande dessinée.
Tsk-tsk, apparemment, le problème le plus important de Black Panther est la façon dont son exécution réelle néglige souvent de satisfaire la vision qui le sous-tend. C’est un film tout à fait charmant à bien des égards, mais il existe quelques groupes dans lesquels les impacts créés par PC ne font tout simplement pas l’univers de l’équité Wakanda. Alors que la grande majorité du mouvement du film (remarquablement une bagarre à corps solitaire dans un club) est inimaginable, quelques-uns des groupes de T'Challa dans le costume Panther ressemblent davantage à des cinématiques de jeu vidéo qu'à des successions d'un blockbuster remarquable d'Hollywood. Passé cela, un nombre important de scènes de bataille ont cet apesanteur ragdoll qui bloque parfois les successions d'activités substantielles de CGI. Compte tenu des difficultés techniques que Ryan Coogler avait l’option de transmettre dans Creed, la situation pourrait bien devenir une sorte de frustration. Il ne suffit pas de détruire le film, mais il est clair que le secteur cinématographique a toujours la meilleure approche. Il a donc besoin de ses films pour satisfaire les rêves grandioses de leurs chefs.
Black Panther de Ryan Coogler est l'un des films les plus dominants, émouvants et particulièrement retentissants de l'univers cinématographique de Marvel à ce jour. C'est également l'une des plus inégales, quand tout est dit et fait. La phase 3 de Wonder Studio ne semble toujours pas pouvoir livrer un film solitaire et terrible. Cela dit, le premier acte peu pratique de Black Panther, sa taille et son volume de casting encombrants, ainsi que ses graphismes aléatoires, en font l'une des sections les plus conflictuelles de la Phase 3 à ce jour.
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