J'aime bien Franck Nicolas.
Et j’émets quand même un bémol :
il a tendance à insister sur le "quand on veut, on peut".
Je comprends son intention : il veut pousser les gens à se bouger...
Mais je trouve ce point, cette manière de dire (si courante chez un certain nombre de personnes) particulièrement embêtant.
Je suis persuadée que, malheureusement, ce point est source de souffrance pour qui est déjà en difficulté et peine à en sortir. C'est donc une croyance à prendre avec des pincettes.
Il est vrai que la formule "quand on veut on peut" peut avoir un côté culpabilisant. Tout dépend de la personne qui l'entend, de son état d'esprit et de ses difficultés. C'est un peu comme dire "bouge toi" à une personne en dépression, ça ne fera qu'empirer les choses.